Elowen O'Neill - La bonne humeur à l'état pur

Niveau 1 :
Avis
Light Spell
Expelliarmus
Impervius

Niveau 2 :
Reparo
Specialis Revelio
Amplificatum + Reducio

Niveau 3 :
Messenger
Wizard Space

Niveau 4 :
Wand arrows

Niveau 5 :
Conjured items
Transplanage

Niveau spécial Ordre :
Defensive Charm
Enervatum

L’histoire d’Elowen débute en Irlande, dans un petit village nommé Glencolmcille, en compagnie de ses parents. Tous deux étaient des moldus, des êtres ne sachant donc pas utiliser la magie comme n’importe quel sorcier, mais ils vivaient heureux et simplement en profitant de chaque journée comme si c’était la dernière. La nature les entourait et lorsque la fillette est née, Tom et Gaëlle firent tout pour qu’elle ne manque de rien tout en lui inculquant des valeurs propres à ce qu’ils avaient eux-mêmes connus.

C’est en compagnie de son père qu’elle apprit à observer tout ce qui l’entourait. Les plantes, les pierres, les êtres humains. Tout était prétexte à l’observation pour Elowen lorsqu’elle accompagnait son naturaliste de père un peu partout. Chaque sortie émerveillait le regard de l’enfant, augmentait sa curiosité et lui permettait d’apprendre de nombreuses choses sur le monde qui l’entourait. A contrario, lorsqu’elle restait avec sa mère à Glencolmcille, la fillette l’aidait dans les tâches ménagères autant qu’elle le pouvait et appréciait filer au marché avec elle, discuter avec les marchands, les autres enfants avec lesquels elle s’amusait. Chacun des instants passés en compagnie de chacune des personnes qu’elle avait côtoyés était un moment unique, une page de son histoire et Elowen avait savouré chacun de ces instants, même les plus difficiles. La joie, les pleurs, les disputes, les rires, la peur, elle avait connu tout cela au fil des années s’écoulant, mais elle les chérissait encore à présent.


La magie ? Elowen en entendait parler dans les contes et légendes du pays ou dans certains racontars des marchands. Comme tout enfant, elle espérait que ces récits existait, que quelque part une fée la protégeait peut-être ou qu’un brownie était en train d’aider à la maison pour les tâches ménagères. Elle n’en avait jamais rencontré, mais certains des plus anciens du village parlaient de ces êtres comme s’ils étaient vrais, avaient un jour existé, n’étaient pas qu’un ramassis de lettres dans un livre de contes pour enfants. Son père la taquinait lorsqu’elle commençait à dire qu’elle allait partir à la recherche d’un dragon, entrait dans son jeu d’enfant, et toute la petite famille débutait un périple sur la plage, près des falaises abruptes ou dans les étendues verdoyantes afin de trouver l’une ou l’autre des créatures dont la fillette avait entendu parler. Bien qu’ils revenaient à chaque fois bredouille de leurs « expéditions », Elowen n’en démordait pas. Un jour, elle leur prouverait que ces êtres existaient vraiment.

Dès que la fillette entendait un son, elle sortait de sa chambre ou se rendait à sa fenêtre et tentait d’apercevoir l’être qui l’avait provoqué. Souvent, ce n’était qu’un animal lambda – le chat du voisin, un oiseau sur le toit – ou le vent qui provoquait les bruits qu’elle percevait, mais de temps en temps, elle avait l’impression que quelque chose d’étrange c’était produit. Elowen n’aurait jamais sût dire ce que c’était, mais elle en avait l’intime conviction alors, elle prononçait quelques paroles à destination de celui qu’elle ne voyait pas, le remerciait, et retournait sous sa couverture jusqu’au lendemain matin.

Lorsqu’elle découvrit qu’elle n’était pas comme tous les enfants de son âge, Elowen n’en a que de vagues souvenirs. Tout ce dont elle se souvient c’est de son ami Léo qui marchait en sa compagnie, ils étaient tout deux proches d’une des falaises et discutaient gaiement comme à leur habitude. Le garçon voulait lui montrer l’un des promontoires rocheux qu’il avait trouvé, était certain qu’il devait y avoir une cavité avec, peut-être, un trésor à l’intérieur de cet endroit. Pourtant, la fillette avait un très mauvais pressentiment dès qu’il mentionnait ce lieu. Elle ne savait pas pourquoi, mais quelque chose lui disait qu’il valait mieux éviter cet endroit et se rendre ailleurs. Plus ils approchaient du lieu, plus les jambes d’Elowen devenaient lourdes alors qu’elle ne s’y était jamais rendue, mais ses supplications afin de faire demi-tours n’étaient pas entendues par son ami.

Ils arrivèrent sur place, bien malgré elle, et Léo se pencha pour lui montrer le promontoire… Un coup de vent s’éleva à ce moment-là, Elowen se rappelle avoir hurler, être partie en courant pour rattraper son ami qui avait pris un peu d’avance sur elle et sentir sa main dans la sienne, mettant toute son énergie pour le retenir. La douleur dans son bras, les larmes dans ses yeux, son autre main s’agrippant à la surface terreuse proche d’elle alors qu’elle se sent entraînée, elle aussi. Son corps qui part en avant, cette main libre qui attrape miraculeusement la partie du promontoire proche d’eux alors que seul le vide leur faisait face, elle ne s’en rappelle pas. Seule la peur ressentie, ce jour-là, reste présente. Une peur non pas pour sa propre vie, mais pour celle de Léo car son cerveau a décidé de ne pas lui faire revivre ce moment. Elle sait qu’ils étaient en contrebas, retenu par son bras sur cette partie rocheuse de la falaise, qu’ils auraient pu tout deux mourir, qu’ils ont été rabroués par les habitants, mais c’est tout. La scène, à ses yeux, n’existe pas, n’a jamais existé comme si elle ne l’avait pas vécu. Tout ce dont elle est certaine, c’est du regard de son ami qui avait changé, de ses questions sur la manière employée pour les sortir de ce mauvais pas… Mais elle n’en savait rien, n’en sait rien et ne pouvait donc pas lui répondre.

Le jour de ses onze ans, une lettre totalement différente des autres apparu au milieu des cartes de vœux. Ses parents se regardèrent un instant, ne connaissant pas le lieu d’où elle provenait et encore moins le symbole présent. Poudlard. Qu’était-ce ? Tout ce dont ils étaient certains, c’était que cette enveloppe en apparence parcheminée était pour leur fille qui déballait l’un de ses paquets cadeaux. Une encyclopédie parlant des plantes montagneuses finit dans les bras fins de la fillette ainsi qu’un carnet pour dessiner ce qu’elle désirait. Elle se dirigea vers eux, des étoiles dans les yeux, afin de les remercier et ils lui remirent ce qui lui était destiné. Les cartes furent rapidement lues, l’enfant disant qu’il lui faudrait encore trouver un moyen de répondre à chaque personne lui ayant souhaité un « Joyeux anniversaire » sans que la réponse ne ressemble à l’année précédente, avant de se concentrer sur cette étrange enveloppe.

Elle l’ouvrit, sortit le papier également parcheminé et commença à lire tout haut ce qu’elle découvrait en même temps que ses parents. L’incompréhension se lisait dans le regard de ceux-ci, alors que les yeux de la demoiselle brillaient de plus en plus au fil de la lecture. Une école de sorcellerie ? Comment pouvait-elle être une sorcière alors qu’elle n’avait aucun pouvoir ? Où est-ce qu’une baguette magique ou un chaudron s’achetaient ? Tant de questions tournaient dans sa tête, mais elle était certaine de ne rien trouver de cette liste sur le marché ou à l’épicerie du coin. Ses parents, quant à eux, avaient du mal à y croire et se demandaient si ce n’était pas un canular, une mauvaise blague d’un de leurs voisins ou d’un ami de leur fille. Pourtant, la lettre était écrite à la main et l’écriture était inconnue aux trois membres de la famille O’Neill.

La première fois qu’Elowen mit les pieds sur le chemin de Traverse, la demoiselle courrait d’une devanture à l’autre. La curiosité se lisait dans son regard, l’excitation la faisait courir partout pour le malheur de ses parents qui tentaient de la garder près d’eux. Au fil des heures, de la joie présente chez leur fille, Gaëlle finit par voir son mari être gagné par sa propre curiosité. Il allait, lui aussi, voir aux devantures des magasins ou se retenaient très difficilement de poser des questions face à certaines plantes, créatures qu’il pouvait apercevoir. Leurs réactions firent rire la mère d’Elowen, heureuse de les voir être autant remplit de joie, même si elle craignait toujours autant de laisser partir sa fille. Il leur fallu également un bon moment pour comprendre le système des Gallions, Mornilles et Noises car ces pièces ne leur disaient rien du tout, heureusement les vendeurs prenaient le temps de leur expliquer – ou réexpliquer – et ils finirent par retenir le fonctionnement de cette monnaie. Ce fut la première fois qu’ils découvrirent le monde magique et la fillette n’hésita pas à leur dire « Je vous l’avais dit que les créatures magiques, ça existait ! ».

Poudlard, célèbre école de sorcellerie, lieu ayant formé tant de sorciers de renoms et possédant quatre maisons aussi différentes que complémentaires. Elowen découvrait cet établissement en compagnie des autres élèves de sa « promotion », allait y vivre durant sept ans, mais également découvrir sa maison, son nouveau lieu de vie, des cours qui lui étaient inconnus et des êtres divers et variés. Lorsqu’elle fut appelée, qu’elle avança à petit pas vers le tabouret et s’assit sur ce dernier, Elowen ne s’attendait pas à être aussi stressée. Où allait-elle finir ? S’entendrait-elle avec les autres personnes de sa Maison ? Le Choixpeau parlait, comme à son habitude, avant de se décider sur l’endroit où envoyer la fillette qui sursauta en entendant : « Poufsouffle ». Lorsqu’on le lui retira, elle rejoignit rapidement la table occupée par ceux qui l’accueillaient et elle se demanda un instant pourquoi elle avait tant stressé.

Les années s’écoulèrent paisiblement, Elowen rentrait chaque année chez elle lors des vacances d’hiver afin de passer les fêtes en compagnie de sa famille, et finalement la dernière année arriva. Trop rapidement aux yeux de la Poufsouffle qui passait ses A.S.P.I.C.S, bataillait avec certaines matières et s’en sortait mieux avec d’autres comme n’importe qui. Elle révisait en compagnie de ses amis dans la salle commune, ils s’entraidaient dès que c’était possible ou se disaient déjà rater telle ou telle matière. Des révisions tout à fait normale, habituelle, accompagnées de quelques grignotages afin de retrouver un peu d’énergie. Elle réfléchissait encore à ce qu’elle désirait faire, hésitant énormément étant donné qu’elle appréciait de nombreuses choses et écoutait ses amis qui rêvaient de choses diverses et variées. Être Auror ? Ce n’était pas pour elle, Elowen savait parfaitement qu’elle aurait un mal fou si elle l’était et n’y avait même jamais réellement songé. Tout ce dont elle était certaine était que le cours où elle s’amusait le plus était celui d’alchimie, même s’ils étaient peu nombreux à le suivre et que cette matière la fascinait depuis qu’elle avait lu des livres sur le sujet.

Même si la brunette savait qu’elle pouvait compter sur les gens de sa maison, elle se tourna vers ses parents. Eux qui n’étaient pas du monde magique, mais qui l’écoutaient lorsqu’elle revenait durant les vacances et la conseillaient en cas de besoin. Elle passa une année entière dans son village d’enfance, côtoyant ceux qui l’avait vue grandir et vivant presque comme une moldue. Son attirance pour l’alchimie s’accrut bien plus encore cette année-là et sa chambre devint un lieu pour le moins étrange. Peu de gens y entrait, ce faisant elle ne cachait pas réellement ce qui avait trait à la magie et elle tentait des expérimentations, se renseignait de plus en plus sur le sujet avant de prévenir ses parents qu’elle partirait quelques temps.

Elle commença par l’Angleterre, pays qu’elle connaissait un minimum à présent, afin de suivre les traces de John Dee qui l’intriguait toujours. Elle prit de nombreuses notes par rapport aux alphabets qui ne lui disait rien ou lui paraissait encore trop vague. En remontant, cette route elle se concentra ensuite sur Edward Kelley, un autre alchimiste anglais et repartit avec une copie de « Les Ecrits Alchimiques d’Edward Kelly » qu’elle avait trouvé, à la méthode moldue, via le site du traducteur de la maison d’édition en réalité, et qu’elle lut attentivement durant quelques temps. Ensuite, elle partit en France, pays où avait vécu le célèbre Nicolas Flamel et se concentra autant sur les travaux de celui-ci que sur sa femme – Pernelle Flamel – avant de se tourner vers des noms parfois moins connus. Elle en profita pour découvrir un peu plus ce pays dans lequel elle n’avait jamais mis les pieds auparavant avant de filer plus au sud et de rejoindre l’Afrique.

Elle resta là-bas plusieurs années, compilant ses notes récoltées dans les autres nations avec ce qu’elle avait pu découvrir sur place. Elowen aidait, comme elle le pouvait, dans les différents lieux où elle se rendait et discutait avec des sorciers locaux, ceux ayant quitté l’académie d’Uagadou et d’autres sorciers qui voyageaient, comme elle, pour diverses raisons. Bien qu’elle n’arrivait pas à recréer la pierre philosophale, Flamel n’ayant pas réellement laissé d’indications, cela ne l’empêchait pas d’évoluer dans ce monde alchimique, de continuer de voir le monde autrement tout en s’ouvrant à des cultures souvent différentes de la sienne. Ce fut à cette époque qu’elle rejoignit l’Ordre du Phoenix, même si sa vision du monde n’était ni tout à fait lumineuse ou ténébreuse, mais son envie de venir en aide aux gens, de ne pas les voir souffrir inutilement était bien plus forte que le reste.

Jamais Elowen n’aurait pensé enseigner un jour à Poudlard et pourtant, elle eut la surprise de voir arriver un hibou alors qu’elle se trouvait en Asie avec Eirwen, son furet. Elle ne vivait pas richement comme d’autres, mais grâce aux petits travaux qu’elle effectuait par-ci, par-là, elle gagnait suffisament afin de continuer ses voyages tout en vivant décemment. Lorsqu’elle vit le volatile nocturne, elle resta un instant interdit et crut que la lettre venait de l’une ou l’autre de ses connaissances désirant des nouvelles. Pourtant, l’enveloppe ne laissait aucun doute sur le lieu d’où l’animal provenait. Un poste de professeur d’alchimie s’était libéré et, pour une raison qui lui échappait, elle était l’un des choix pour pouvoir y travailler. Bien sûr, elle avait partagé une partie de ses recherches, mais à ses yeux ses notes restaient encore assez bancales vu que ce n’était qu’une compilation. Pourtant, Elowen se rendit dans son ancien établissement scolaire, là où elle avait vécu de nombreuses années et accepta le poste afin d’aider les élèves à comprendre cette matière s’ils désiraient l’apprendre.

A présent, elle fait son possible pour continuer ses recherches et répondre aux êtres ayant besoin de son aide tout en arpentant les couloirs de Poudlard. Elowen n’a aucune idée de ce que l’avenir sera fait, mais elle ne s’en fait pas préférant vivre au jour le jour.

Psychologiquement, Elowen est une jeune femme très curieuse qui apprécie parcourir différents lieux naturels afin de trouver des plantes ou des roches qu’elle pourrait utiliser dans ses préparations. Mais, même si elle apprécie sortir, vous la verrez peu le nez dehors lorsqu’il fait trop froid. Madame ne supportant guère des températures inférieures à zéro degré. S’il le faut réellement, elle disparaîtra sous des couches de vêtements chauds ou aura la tête enfouie dans son écharpe, un bonnet sur la tête et des gants aux mains afin de se protéger au maximum. Seule une situation d’extrême urgence fera qu’elle quittera la chaleur du château sans toutes ses affaires.

La demoiselle est également ouverte aux autres, aidant en cas de besoin et tendant facilement la main à autrui. On lui reproche d’ailleurs fréquemment son altruisme, mais Elowen rétorque à chaque fois que « Sans ça, je ne serai pas moi-même et que s’il arrivait quoi que ce soit à une personne sans que je n’ai tenté de l’aider, je m’en voudrait. » Bien sûr, elle sait qu’elle ne peut pas aider tout le monde et ne se fait aucune illusion par rapport à cela. En réalité, elle ne cherche pas à recevoir de remerciement, elle n’en a d’ailleurs rien à faire, mais souhaite seulement essayer de faire ce qu’elle peut pour les autres même si cela ne sert à rien aux premiers abords car, à ses yeux, même une simple main tendue peut aider quelqu’un.

En digne Poufsouffle, il lui arrive d’être extrêmement gourmande ce qui peut lui jouer des tours… Principalement lorsqu’elle sent une odeur alléchante alors qu’elle a autre chose à faire. Ce faisant, elle se détournera de sa tâche initiale et cherchera d’où l’odeur provient, sauf si elle doit donner cours, même s’il lui faut plusieurs heures pour trouver la source du fumet lui ayant titiller les narines. Il lui arrive fréquemment d’aller embêter les elfes de maison, présents dans les cuisines du château, afin de goûter l’une ou l’autre des préparations tout en discutant joyeusement avec eux. Bien que sa préférence aille aux plats sucrés et acidulés – son gâteau préféré étant l’Irish Lemon Cake -, elle n’est pas réellement difficile et goûtera tout ce qui lui fera face.

Lorsqu’elle donne cours, la jeune professeure préfère la pratique à la théorie même si, dans le milieu alchimique, il vaut mieux connaître cette dernière. Pourtant, elle n’en démord pas et tente de mêler les deux tout en expliquant à ses étudiants qu’échouer n’est pas réellement un échec, mais une avancée également car c’est ainsi qu’il est possible de grandir, de découvrir des choses nouvelles. Lorsque quelque chose ne fonctionne pas, elle fait son possible pour expliquer les raisons de la tentative ratée à l’étudiant ou cherche en sa compagnie où il a pu se rater. Après tout, elle-même peut faire des erreurs et Elowen se doute que ce n’est pas simple de se plonger dans de vieux manuscrits pour en découvrir des « recettes alchimiques ».

Physiquement, Elowen possède de longs cheveux brun foncé qu’elle s’amuse à attacher de diverses manières au fil des jours ou à laisser libre si l’envie lui prend. Chignon, queue de cheval, tresse, l’ancienne élève de Poudlard passe par diverses coiffures et n’hésitera pas à changer au cours de la journée si cette dernière l’ennuie ou ne lui plait plus. Ses yeux sont vert clair et possèdent une légère touche de jaune près de la pupille, ce qu’il est difficile de voir à moins de s’approcher beaucoup trop près d’elle. Elowen n’est également pas très grande, du haut de son mètre 67, mais a appris à se débrouiller que ce soit par ses propres moyens ou à l’aide de la magie pour attraper ce qu’elle désire.