Un peu d'exploration ne fait jamais de mal

Richard et Lynn

Suite à leur réunion, Richard c’était obligé à parcourir le château afin d’en connaître les moindres recoins. Il avait bien vite compris que le château était difficile à cartographier ce qu’il l’avait assez contrarié. Richard aimait avoir le contrôle sur les lieux dans lequel il entrait. Savoir que la bâtisse changeait à sa guise et cachait bon nombre de passages et de pièce l’agaçait au plus haut point.

Durant sa balade, il avait cependant fait la découverte d’un lieu qu’il réussit à apprécier réellement : la bibliothèque. Richard avait toujours aimé apprendre, mais pas n’importe quoi, seulement ce qui pouvait lui être utile que ce soit dans la vie ou dans leur bataille. Il avait donc franchi les portes de la bibliothèque avec curiosité, surtout la partie interdite de la bibliothèque.

Il s’était avancé vers la bibliothécaire après avoir longuement parcourant les allées principales. Souriant et avenant, il demanda s’il pouvait avoir accès à la seconde partie de la bibliothèque. Par simple curiosité, en tant que membre du ministère, il apprécie pouvoir prendre connaissance des savoirs présents dans cet endroit.

Il avait joué de ses charmes pour obtenir ce qu’il voulait et elle l’avait laissé passer. D’un mouvement de baguette de la part de la bibliothécaire, la porte menant à la réserve s’ouvrit et Richard s’engouffra dans la pièce. L’endroit était froid, sombre et poussiéreux. Richard murmura un « Lumos » et commença doucement son exploration. Le titre de certains livres n’étaient pas écrit en langue commune, il arrivait à en déchiffrer certains, mais d’autres étaient incompréhensible. La bibliothécaire lui avait signalé que certains livres étaient enchantés et qu’il fallait qu’il se méfie, qu’il ne devait pas en prendre un sans s’assurer qu’il le pouvait avant. Il se contenta pour le moment de regarder, si un livre attirait son attention, il aviserait.

Emi Burton

Notre plus belle performance de théâtre

N'aie pas pitié des morts. Aie plutôt pitié des vivants et surtout de ceux qui vivent sans amour.

La réunion n'était pas terminée depuis longtemps, pourtant, j'ai l'impression que Richard à parcouru une bonne distance en peu de temps. Pourquoi est-il si pressé, j'ai hâte de le découvrir, et de lui remonter les bretelles de m'avoir planté là. En plus, je suis perdue, nom d'un .... Bon, on va se calmer et entrer dans une pièce, puis demander poliment si quelqu'un a vu un bel homme, plutôt grand et élégant passer, cela ne cours pas les couloirs, ça devrait le faire. Et mince, j'ai oublié la sortie des classes. Les élèves envahissent les couloirs, bon, ils ne sont pas stupides au point de me foncer dedans, ils m'évitent, c'est déjà ça de gagner. J'en profite pour jeter un œil dans les salles de classe, rien, bon, j'avance encore jusqu'à la bibliothèque. Une fois rentrée, je remarque que la porte de la réserve était ouverte. Je mets ma main sur ma baguette et me rapproche de la bibliothécaire.

"Dîtes moi, pourquoi cette porte, qui doit normalement rester fermée, est ouverte aujourd'hui ?"

Elle lève son regard et me rétorque qu'un homme du ministère lui à demandé l'accès. Je me détends immédiatement.

"Je vais y faire un tour, juste question de sécurité, que personne n'entre tant que je ne suis pas sortie."

Elle acquiesce et je m'approche de la porte. J'entre dans la pièce faiblement éclairée et ferme la porte derrière moi. J'avance, lentement, discrètement en entendant le bruit de ses pas au loin. Je souris en coin quand j'arrive derrière lui et pose le bout de ma baguette contre sa nuque. Je le sens légèrement trésailler.

"Monsieur le Ministre, vous ne devriez pas vous promener seul comme cela, cette réserve est emplie de sort de protection, tout crime y est détecté et des personnes haut placée dans l'école sont immédiatement prévenus. Heureusement que vous êtes de notre côté."

Je baisse ma baguette et reste dans mon rôle d'Auror. Il faut qu'il comprenne qu'ici, nous ne pouvons pas relâcher nos efforts pour cacher notre lien.

"Vous êtes partis tellement vite que nous n'avons pas eu le temps de définir quand je vous rendrais visite au ministère pour y faire mon rapport de sécurité."

made by LUMOS MAXIMA

Un peu d'exploration ne fait jamais de mal

Richard et Lynn

Richard avait tressailli en sentant le bout d’une baguette sur sa nuque. Il ne l’avait pas entendu arriver, il l’avait complimenté plus d’une fois sur sa discrétion. Il eu un léger sourire en coin.

« Monsieur le Ministre ? Vous me voyez flatté de me donner un tel titre… Mais n’ayez crainte, je ne faisais que regarder et voir si un de ces ouvrages pouvait contenter ma soif de savoir… »

Quand Lynn baissa sa baguette, il se tourna vers elle. Il souriait légèrement en la regardant. Bien entendu, il devait jouer son rôle d’employé du Ministère, mais il avait beaucoup de mal à supporter d’être aussi distant avec elle. Il la détaillait du regard.

« En effet, j’avais simplement hâte de connaître un peu plus ce château et ses secrets… Avez-vous un jour de préférence ? Je peux libérer du temps pour vous. »

Il faisait mine de s’intéresser aux livres à présent, son attention était à présent dirigée vers Lynn. Pour elle, il était prêt à tout pour pouvoir passer quelques minutes de plus avec elle, ces instants volés étaient bien de trop rare et bien de trop précieux. Il ne remercierait jamais assez Aaron de leur avoir accordé ce luxe.

« Mais peut-être que vous pourriez m’aider à trouver ce dont j’ai besoin ? »

Il continuait à regarder les livres un par un. Qu’est-ce qu’ils pouvaient bien contenir comme magie noire, intéressante qui pourrait leur être utile dans le futur. Après tout, tout était bon à prendre, notamment en matière de torture : il adorait se perfectionner.

Emi Burton

Notre plus belle performance de théâtre

N'aie pas pitié des morts. Aie plutôt pitié des vivants et surtout de ceux qui vivent sans amour.

Un sourire presque timide s'affiche sur mon visage, cette distance obligatoire est une douce torture et un supplice qu'il me tarde d'oublier. Mais, il fallait faire attention, Richard ne pouvait pas se promener ainsi dans le château, cela pourrait paraître très suspect de s'intéresser ainsi aux livres interdits.

- Il me semble que ces livres ne sont pas empruntables, même pour quelqu'un du ministère. Je suis navrée, mais en prendre un serait considérer comme une trahison envers les règles de l'école.

J'invitais de la main Richard à me suivre et me dirigeais vers la porte de sortie. Tout semblait silencieux, mais je savais que nous étions étroitement surveillés. Une fois sortie, je regarde autour de moi et remarques quelques élèves et professeurs. Certains lèvent la tête en voyant cette porte bougée, d'autres l'ignore royalement. À présent, le chuchotement était de rigueur.

- Je n'ai pas de jour de préférence, nous pouvons nous fixer pour le dimanche. La surveillance est un peu moins lourde ce jour-ci, mon frère n'aura très certainement pas besoin de moi. Qu'en pensez-vous M. le ministre ?

Les chuchotements nous entouraient. Les rumeurs sur nous allaient, très certainement, affluées dans peu de temps. Personne, à part le directeur de l'école, ne pouvait être au courant de ce qu'il s'était passé dans cette pièce normalement interdite. C'était assez amusant, laissons les gamins faire et peut être que cela pourra nous servir plus tard.

- Il va bientôt l'heure de notre tour de garde. Devez-vous retourner au ministère dans l'heure qui vient ?
made by LUMOS MAXIMA

Un peu d'exploration ne fait jamais de mal

Richard et Lynn

Richard suivi Lynn avec une pointe de regret. Si ce stupide château n’avait pas été si étroitement surveillé il aurait pu glisser dans sa veste quelque uns de ces précieux ouvrages. Son regard balaya les élèves présent dans la bibliothèque, s’agaçant de cette manie à tirer des conclusions hâtives. Qu’ils imaginent bien ce qu’ils souhaitent, leur imaginaire ne leur permet pas d’effleurer la vérité de ce qui aurait pu se produire là-dedans si ils n’avaient pas été bridés de la sorte.

« Le dimanche, cela me va très bien. J’aurais au moins la certitude de ne pas être déranger par un quelconque hibou urgent. Je déteste être interrompu notamment dans le cadre de réunion importante. »

Au premier abord son regard ne trahissait rien mais ces paroles étaient lourdes de sous-entendu qu’une personne extérieur aurait eu du mal à décelées. Il jeta un coup d’œil à sa montre à gousset suspendu à la poche avant de sa veste.

« Je ne suis pas attendu avant un petit moment, souhaitez-vous que je vous accompagne ? »

Il s’était dirigé vers le couloir en même temps qu’il parlait, il avait beaucoup de mal à supporter les regards inquisiteurs de ces jeunes aux hormones instables. Richard avait beaucoup de mal avec les jeunes adolescents, avec les enfants en général même. Les seuls qu’il réussissait à supporter avaient reçu une éducation proche de la sienne et à son grand malheur ce genre d’enfant ne courait pas les couloirs.

Emi Burton